64 research outputs found

    Einige Bemerkungen zum Begriffsfeld ›Nation‹ im Mittelalter. Von der "natio" zur Nation

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    Im Mittelalter war der Begriff der Nation zwar schon klar umrissen, aber die Nation in unserem Sinne gab es nicht. Das Wort ›Nation‹ ist entlehnt aus dem Lateinischen nâtio (-ônis), einer Ableitung von nâscî (nâtus sum), geboren werden, das mit dem lateinischen genus‚ Geschlecht, Art, Gattung verwandt ist. Das Wort bezeichnet seiner Etymologie nach eine Gemeinschaft von Menschen derselben Herkunft, die durch gemeinsame Abstammung verbunden sind; dann anschließend eine Gemeinschaft von Menschen gleicher Kultur, Sprache. Demgemäß bezeichnete lat. natio schon in der Antike und noch lange im Mittelalter die Abstammung oder den Herkunftsort einer Person und zwar in Bezug auf politisch nicht organisierte Bevölkerungen. Anfangs bezeichnete also die Nation die Herkunft einer Gruppe von ausgewanderten Menschen, die sich mit der Bevölkerung vermengte, in die sie sich eingliederte. So wurde das Wort besonders gebraucht, um die Herkunft der Studenten einer Universität zu bezeichnen: es ist die Rede von ›Universitätsnationen‹, wobei »mit diesem Wort […] ursprünglich eher Himmelsrichtungen als Nationen im späteren Sinne gemeint« waren. Es entstand in Paris die Einteilung in vier Nationen: Gallikaner oder Gallier, zu denen auch Italiener, Spanier, Griechen und Morgenländer zählten, Picarden, Normannen und Engländer, die auch die Deutschen und weitere Nord- und Mitteleuropäer beinhalteten. […] Es gab an der 1348 gegründeten Universität Prag ebenfalls vier gleichberechtigte ›Nationen‹, in die sich die einzelnen Studenten organisierten. Die polnische Nation umfasste die Studenten aus Preußen, Schlesien oder aus einer polnischen Stadt mit deutscher Bevölkerung, d. h. aus dem gesamten östlichen Raum; zur böhmischen Nation gehörten die Böhmen, die Tschechen, die Ungarn und die Südslaven, zur bayerischen Nation die Schwaben, die Bayern, die Franken, die Hessen, die Rheinländer und die Westfalen, zur sächsischen Nation die Norddeutschen, die Dänen, die Schweden und die Finnen. So hatte der mittelalterliche Nationbegriff nichts zu tun mit dem modernen, seit der Französischen Revolution in den Vordergrund getretenen, und noch weniger mit dem Nationalismus

    Beobachtungen zur Kleidung in der Dichtung Hartmanns unter besonderer BerĂĽcksichtigung der Artus-Epen

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    La fascination pour Alexandre le Grand dans les littératures européennes (xe-xvie siècles), tome III, Turnhout, Brepols, 2014

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    Sous la direction de Catherine Gaullier-Bougassas, ancienne élève de l’École Normale Supérieure, professeur de langue et de littérature médiévales françaises à l’Université de Lille 3 et membre de l’Institut universitaire de France, une équipe internationale et pluridisciplinaire de dix-sept chercheurs littéraires et historiens, dans un programme sélectionné par le Contrat Plan État Région (CPER), puis par l’Agence nationale de la recherche française (ANR), a réalisé cet ouvrage de quatre vol..

    La réception du Pseudo-Turpin en Allemagne au Moyen Âge

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    L’article étudie l’influence que le Pseudo-Turpin a pu avoir sur le Rolandslied de Konrad et sur le Karlmeinet. Contrairement à ce que l’on a parfois affirmé, le premier de ces deux poèmes présente seulement de rares similitudes avec le texte de la chronique latine. Au contraire, la troisième partie du Karlmeinet adapte assez fidèlement le texte de Turpin, en insistant moins sur l’idéologie de la guerre sainte, mais en utilisant l’image de Charlemagne au service des revendications allemandes contre les prétentions françaises sur l’Empire.This article studies the influence that the Pseudo-Turpin may have had on Konrad’s Rolandslied and on the Karlmeinet. Contrary to what has sometimes been suggested, the first of the two poems offers only rare similarities to the Latin Chronicle. On the other hand, the third part of Karlmeinet adapts Turpin’s text rather faithfully, insisting less on the ideology of holy war, than on the image of Charlemagne in his role as a German ruler, to assist in German claims against French pretentions on ruling the Empire

    La réception du Pseudo-Turpin en Allemagne au Moyen Âge

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    L’article étudie l’influence que le Pseudo-Turpin a pu avoir sur le Rolandslied de Konrad et sur le Karlmeinet. Contrairement à ce que l’on a parfois affirmé, le premier de ces deux poèmes présente seulement de rares similitudes avec le texte de la chronique latine. Au contraire, la troisième partie du Karlmeinet adapte assez fidèlement le texte de Turpin, en insistant moins sur l’idéologie de la guerre sainte, mais en utilisant l’image de Charlemagne au service des revendications allemandes contre les prétentions françaises sur l’Empire.This article studies the influence that the Pseudo-Turpin may have had on Konrad’s Rolandslied and on the Karlmeinet. Contrary to what has sometimes been suggested, the first of the two poems offers only rare similarities to the Latin Chronicle. On the other hand, the third part of Karlmeinet adapts Turpin’s text rather faithfully, insisting less on the ideology of holy war, than on the image of Charlemagne in his role as a German ruler, to assist in German claims against French pretentions on ruling the Empire

    L’homme laid dans la littérature médiévale allemande un exemple : le ackerkneht dans la couronne de Heinrich von dem Türlin (1230)

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    Comme le dit Edmond Faral, « dans la littérature, les éloges de la beauté sont infiniment plus fréquents que les tableaux de la laideur. Ceux-ci pourtant ne manquent pas », aussi bien hommes que femmes. Je consacrerai cet exposé à l’homme laid, dont le prototype dans la littérature médiévale est sans nul doute le personnage de Charon aussi bien dans le roman français d’Eneas, dont la description est selon Wolfgang Brandt non seulement la première application du topos de la descriptio sur un h..

    Les effets de l'unification sur la vie culturelle des cinq "nouveaux Länder"

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    Buschinger Danielle. Les effets de l'unification sur la vie culturelle des cinq "nouveaux Länder". In: Matériaux pour l'histoire de notre temps, n°23, 1991. Allemagne: an un de l'unification, sous la direction de René Girault . pp. 52-56

    Le Curé Konrad, adaptateur de la « Chanson de Roland »

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    Buschinger Danielle. Le Curé Konrad, adaptateur de la « Chanson de Roland ». In: Cahiers de civilisation médiévale, 26e année (n°102), Avril-juin 1983. pp. 95-115

    Le « nu » dans quelques textes médiévaux allemands

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    Dans certaines civilisations, ainsi dans la civilisation égyptienne, grecque, indienne ou encore dans les civilisations de l’Amérique centrale ou du Sud, il convient de distinguer la nudité rituelle, ou celle déterminée par des pratiques magiques, de la nudité profane. Par exemple pour les moines adeptes de l’hindouisme ou du jaïnisme la nudité n’est pas seulement un élément d’une grande ascèse, mais aussi le symbole d’une spiritualisation extrême. Dans la religion chrétienne, compte tenu que..

    La prière dans le Rolandslied de Konrad

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    Les prières contenues dans les chansons de geste françaises ont été l'objet de nombreuses études de la part des romanistes ; M. J. de Caluwé a dans un article récent évoqué celles de la Chanson de Roland. Je me propose aujourd'hui d'étudier les prières du Rolandslied du Curé Konrad qui a adapté en allemand la Chanson française. Je prendrai en considération tous les types de prières, qu'elles soient de simples invocations, de courtes oraisons ou des prières plus longues ; je ne pourrai cependa..
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